Les nations et les races.

Lerthe – capitale : Sertolis

Dans l'empire de Lerthe tout se gagne par soi même. C'est la culture ici, il faut mériter son dû, aussi même si des groupes se forment leur renommée comme celle de chacun de ses membres doit être bâtie sur des faits qu'ils peuvent prouver.
La coutume de cet empire veut que les fils fassent leurs preuves par eux même avant de reprendre l'affaire familiale, même chez les paysans cette tradition existe. On donne alors une toute petite part du patrimoine familial à l'intéressé et il doit prouver qu'il est capable de ne pas le perdre, si il y parvient il sera un héritier de la famille, sinon il devra partir se chercher un autre lieu où vivre.

L'empire de Lerthe est dirigé par un conseil qui statut sur les cas les plus graves lorsqu'il le faut mais s'occupe surtout de gérer le pays et d'assurer protection et bien être au peuple par les lois. Il est constitué de cinq généraux élus par l'ensemble de l'armée uniquement parmi les généraux, de cinq marchands élus par les commerçants uniquement parmi les princes marchands, et de cinq citoyens élus par le reste du peuple, sans distinction.

La culture de l'empire est principalement basée sur des héros qui n'avaient rien et ont réussi au-delà de l’imaginable. Cela peut être pour des aventuriers, des soldats ayant renversé le cours d'une bataille, de simples citoyens parvenant à avoir la main d'une dame trop bien placée pour eux, des marchands sans le sou finissant au grand conseil. Du moment que l'individu doit affronter le monde et réussir à gagner cela fait une belle histoire pour ce peuple.
Pour ce qui est de bâtir ils aiment les bastions, les forteresses aux murs épais faits de blocs monstrueux. Il est de notoriété publique que les Lerthans sont ceux qui bâtissent les édifices les plus résistants, capables de défier le temps et la nature.

La capitale est une immense bille fortifiée au centre d'un plaine. Elle est le point névralgique des commerces de tout le pays, rien ne se passe sans que les administrateurs de la ville ne finissent par l'apprendre.



Virrolan – capitale : Petris


La nation de Virrolan est gouvernée par un roi, c'est la première chose à savoir car il lui est voué un véritable culte. Tous ne sont pas éperdus d'adoration devant lui mais personne ne remet en doute son droit à régner, il est celui qui doit s'asseoir sur le trône et, temps qu'il gouverne correctement, il y reste. Lorsque les temps sont durs les gens marmonnent et se tournent vers lui, certains perdent espoir, mais la majorité croit en son suzerain, il possède les pouvoirs et l'intelligence pour les aider, et il le fera. En effet, le roi de Virrolan est un puissant mage, il a déjà sauvé sa nation à plusieurs reprises à l'aide de sa magie et de son gouvernement.
Les virroliens sont des gens plutôt tranquilles, ils possèdent un immense savoir et beaucoup de richesses. Leurs terres sont verdoyantes, l'eau pure presque partout sauf dans quelques marais où ils trouvent tout de même quelques denrées rares et précieuses. De grandes forêts leur offrent encore bien des ressources, tout comme des monstres encore différents qui se tapissent fourbement dans les ombres des arbres.

Malgré la diversité de terrain de leur royaume, les virolliens parviennent à combattre la multitude de monstres différents vivant dans chacun d'entre eux. Ils sont très proches de la nature, aiment son contact et savent l'écouter de façon à éviter les conflits avec les créatures les plus puissantes. Leurs villes sont protégées par des charmes repoussant la grande majorité des monstres, il arrive parfois que l'un d'entre eux, trop puissant pour être affecté, se rapproche d'une cité, mais alors les meilleurs combattant font cause commune pour l'abattre.

Pour ce qui est de la culture, Virrolan est une terre de sagesse, ses bibliothèques sont les plus grandes que le monde connaisse, des érudits de tous les horizons s'y rendent et certains savoir sont cachés de telle façon qu'il est impossible d'y avoir accès sans que le roi le veuille. On raconte qu'ils connaissent les origines du monde, cette superstition attire toujours plus d'aventuriers chez eux, surtout ceux versés dans la divination, comme les prêtres ou les saints combattants. Leur architecture est belle, en harmonie avec la nature, leurs grandes cités épousent souvent un fleuve pour s'irriguer naturellement. Leur mot d'ordre est le partage, il faut toujours tendre la main à celui qui le demande, toutefois gare à celui qui en dévoile plus qu'il ne faut, la confiance est ce qui permet de s'élever chez les virroliens. Jouez les commères avec des secrets importants et ils auront tôt fait de vous regarder d'un œil noir et de garder leur savoir pour eux.

La capitale est au coeur d'une forêt, sur les flancs d'une montagne si escarpée que l'autre versant est réputé pour être impossible à escalader. Chaque année des gens meurent en tentant de prouver le contraire. Dans la capitale elle même, des arbres géant, de plusieurs centaines de mètres de haut comme de circonférence jalonnent les quartiers. Ils sont habités et vivent en grande partie des soins qui leur sont portés par les habitants.



Ademme – capitale : Diné-Haï

Ademme est le nom d'un culte, celui de l'argent, de la malice et de la chance. Il regroupe aussi bien les marchands que les brigands et les fourbes de tous horizons. Et c'est précisément ce qui caractérise la nation éponyme.
Les ademmes sont ceux que l'on qualifie de voleur, peut être parce que leurs rangs comportent quantités de marchand prêts à rouler les acheteurs naïfs, peut être aussi parce qu'il y a en effet beaucoup de voleurs venant de ce peuple. Les histoires à propos des ademmes parlent souvent de personnages rusés, pas toujours malfaisants mais rarement bons. Ils sont ceux que l'on regarde avec méfiance en se demandant sans cesse quel nouveau tour ils vont jouer. Eux même sont pour la plupart satisfaits de leur réputation. Les gens les craignent plus ou moins, ils passent pour plus intelligents que les autres puisqu'ils sont suffisamment rusés pour dérober les autres peuples, en bref, plus leur réputation leur fait mauvaise presse plus elle les protège car les gens évitent de se frotter à eux.

Les ademmes se moquent bien des origines de ceux constituant leur peuple, ils ne s'intéressent guère qu'à l'importance qu'ils peuvent avoir maintenant, dans l'instant présent. C'est un peuple qui fait beaucoup de secret et n'aime pas qu'on lui pose trop de questions. Ses membres sont aussi plutôt vantard, ils exagèrent la force de leur nation et de leurs héros, mais c'est de bonne guère avec les préjugés auxquels ils font face.

Ils n'ont pas vraiment de gouvernant, ceux considérés comme les plus puissants jouent de leur influence pour guider les masses. De temps à autres un petit malin se dresse sur leur route ou bien tente de prendre la place d'un seigneur avec un coup d'état, parfois cela fonctionne, parfois pas. Toujours est-il que ceux à la tête des ademmes font leur possible pour qu'ils mènent une vie prospère. S'attirer les foudres d'un peuple dont la majorité des membres sait comment tuer et dissimuler un homme n'est pas vu comme une preuve d'intelligence.

Pour ce qui est de la culture les ademmes ne brillent pas par la leur, en revanche leurs pillages et «excursions culturelles» sur d'autres terres leurs ont permis de rapporter chez eux de quoi faire envie à bien des érudits. Il paraît qu'il détiennent des artefacts dont les pouvoirs et la complexité dépassent l'imagination, ce qui inquiète les autres peuples qui tentent régulièrement d'infiltrer les cercles les plus importants des ademmes.

La capitale ressemble à un regroupement de bidonvilles ayant peu à peu gagné en puissance. Ce sont de petits bouts de villes, des zones administrées par des gangs, qui ont finit par se développer jusqu'à se rejoindre et fusionner. Les remparts sont donc très nombreux, ils retracent l'histoire de chaque ville avant qu'elle ne fusionne avec ses voisines. C'est un réseau tentaculaire de rues et venelles, de canaux et d'égouts comme de passages secrets.



Les autres – pas de capitale

Tout le monde n'adhère pas à l'une des trois grandes nations constituant la majeure partie de la population du cinquième monde. De nombreuses ethnies parsèment la surface de ce monde, des grands montagnards ne connaissant que le froid et la nuit aux assassins des forêts sombres, n'acceptant guère que quelques individus précis sous les frondaisons de leur grandes forêts sacrées. Comme dans n'importe quel monde celui ci comporte des océans, des volcans, des prairies, des plaines gelées, des banquises, des déserts, des marais. Chaque environnement possède un ou plusieurs peuple indépendant. La plupart le sont par leur mode de pensée trop différent pour adhérer à celui d'une des trois grandes nation, certains parce qu'ils veulent simplement garder leur indépendance, d'autres car ils ont décidés de se battre contre ceux qu'ils voient comme des envahisseurs.
Il est important de savoir que le cercle polaire se situe en plein centre. C'est une zone de froid, de toundra, de banquise, puis de montagnes gelées à n'en plus finir. Les plus hauts sommets et les conditions de vie les plus rudes se trouvent ici.

Pour que votre race soit acceptée il faut remplir plusieurs conditions :

-Être humanoïde. Navré mais vous ne jouerez pas une licorne, cependant les centaures sont autorisés et les slimes aussi, à condition qu'ils puissent prendre forme humaine.
-Avoir une maturité sexuelle au moins équivalente à celle d'un humain.
-Ne pas être un élémentaire (ceux là seront uniquement des monstres).
-Ne pas posséder de «dons» la rendant complètement craquée. Qu'un neko voit dans l'obscurité, ok, qu'un serpent ait une vision thermique, ok, qu'un demi dragon ait une résistance plus élevée du fait de sa race et en dehors des stats, non, pareil pour ceux qui descendraient d'une race de créatures surpuissantes, navré mais vous serez l'asthmatique de la famille en début de partie, il faut être fair-play.
-Avoir une forme physique, ceux qui bavaient déjà sur le fait de jouer un intangible insensible à tout ce qui est physique c'est non.

Cette liste de conditions est amenée à être modifiée en fonction de ce que le forum rencontrera. Elle ne sera cependant pas rétroactive.